”[Mentionné par Jean Moschos dans le Pré Spirituel 57, il doit être distingué de S. Syméon l’Ancien (1er sept.) et de S. Syméon du Mont Admirable (24 mai). Sa mémoire, absente des synaxaires, se trouve dans le Lectionnaire géorgien de Jérusalem (Xe s.), qui associe les trois Stylites homonymes en une seule mémoire.]
Saint Syméon vivait en stylite, au VIe siècle, à quelque distance de la ville d’Égée (Cilicie). Il mourut sur sa colonne, frappé par la foudre. À ce moment, un autre stylite, nommé Julien, qui vivait loin de là dans une vallée, commanda à ses disciples de faire brûler de l’encens, car l’âme de son frère Syméon le quittait avec des transports de joie.