Evêque Ilias Miniatis (XVII-XVIII siècles)

Le pape  de Rome, selon son désir dominateur, veut être le maître au-dessus des esclaves et non pas le premier parmi les frères.

La pierre du scandale

 

Saint Jean de Cronstadt (XIX-XX siècles)

« Les papistes, ayant reconnu le pape comme la tête de l’Eglise, l’ont la placé sur le trône au lieu du Christ, l’ont divinisé, et ont mis le Christ de côté. Ils ont fait le pape comme le vicaire du Christ, tandis que le Christ est avec nous tous les jours jusqu’à la fin des temps (Matthieu 28:20). En reconnaissant le pape comme le chef de l’Eglise, ils ont perdu le vrai chef de l’Eglise qui est le Christ, et se sont retrouvés sans le Chef… »

 

Saint Photios Le Grand (IX siècle)

Les Latins n’ont pas seulement transgressé des lois divins, mais sont allés jusqu’à cette surabondance de fierté que même le Credo saint, que les décrets des Conciles ont ordonné de garder inchangé, ils ont osé introduire une erreur (ô, les tentations du malin!) que soi-disons le Saint-Esprit procède non seulement du Père, mais aussi du Fils, et ainsi ils ont déformé le dogme fondamental de la Sainte Trinité.

Qui ne va pas fermer ses oreilles pour écouter cette grossièreté particulière (de Filioque), qui est contraire à l’Evangile, est contraire aux saints Conciles, rejette les bienheureux Pères et Saints … C’est le blasphème et la voix luttant contre Dieu qui se lève contre tous les prophètes, apôtres, saints, martyrs et même les paroles du Seigneur… Nous condamnons tous ensemble ces trompeurs par la voix divine…

Nous nous sommes approché de nouveau de la lumière, et nous avons exposé ce qui était défini lors des Conciles précédents et dans les décrets apostoliques… Ceux qui persistent dans leurs multiples erreurs, nous les excluons de toute communion chrétienne.. à cause du blasphème de l’Esprit Saint… ce qui suffit pour faire plusieurs anathèmes… pour que nous séparions du Corps de l’Eglise la gangrène du blasphème pour déraciner le germe du mal.

 

Saint Marc d’Ephèse (XV siècle)

Nous avons rejeté de nous-mêmes les Latins pour la seule raison que ce sont des hérétiques. Par conséquent, il ne faut absolument pas s’unir avec eux…

Les Latins ne sont pas seulement des schismatiques, mais des hérétiques. Notre Eglise était silencieuse à ce sujet parce que leur tribu est beaucoup plus grand et plus fort que le nôtre…

Ainsi, frères, fuyez les innovations latines et leurs racines, et unis par l’amour les uns pour les autres, réunissez-vous dans le Christ qui est notre Tête unique…

 

Saint Grégoire Palamas (XIV siècle)

Même les anges ne peuvent pas pousser les Latins et les inciter à prendre des médicaments contre leur fausse confession.

Comment osez-vous accepter cela (Filioque) … ce qui n’était pas révélé et n’était pas proclamé à Ses bien-aimés par Celui qui a annoncé tout ce qu’Il a entendu du Père et est venu pour nous révéler toute la vérité ? (Jean 18, 37) Comment osez-vous introduire un ajout faux dans la définition de la foi que les Pères élus ont spirituellement écrite dans le Concile commun et nous l’ont transmise ?

 

Syméon de Thessalonique (XV siècle)

L’erreur des Latins est non seulement l’ajout du Filioque dans le Symbole de la foi, mais « beaucoup d’autres choses qui étaient introduites en dépit de la Tradition de l’Eglise… pour cela les Latins sont exclus de l’Eglise » ( PG 155, 101А)

 

Saint Nicodème l’Hagiorite (XVIII-XIX siècle)

Les Latins sont des hérétiques.

Πηδάλιον, εκδ. Ρηγόπουλου, 1991, σελ. 55].

 

Saint Cosmas d’Aetolia (XVIII siècle)

Le pape de Rome est un antéchrist. (Διδαχή Η΄)

 

Saint Nectaire d’Égine (XIX-XX siècles)

Comment dit-on que le pape est le chef de l’Eglise tandis qu’il est exclu de l’Eglise d’Occident… C’est un orgueil extrême du pape, ce sont les ambitions de la monarchie qui ont engendré tant d’hérésies.

 

 

Saint Théodose des Grottes (XI siècle)

Par des multiples des hérésies, les Latins ont déshonoré tout l’univers… Il n’y a pas de salut pour ceux qui vivent dans la foi latine.

 

Saint Païssy Velitchkovsky (XVIII siècle)

La papauté s’est détachée de l’Eglise et est tombée dans un abîme des hérésies et erreurs. Elle y demeure sans espoir de son rétablissement.

 

Saint Maxime le Grec (XVI siècle)

Les erreurs des Latins qui forment la barrière entre nous sont si grandes et leur enseignement est si faux et s’est écarté si loin de l’Eglise que le seul Dieu peut les corriger.

 

Saint Philarète de Moscou (XIX siècle)

La papauté est semblable à un fruit dont la peau du christianisme ecclésiastique hérité de l’antiquité se dégrade peu à peu pour révéler son noyau antichrétien.

 

Saint Théophane le Reclus (XIX siècle)

La seule Eglise était sur la terre avec la seule foi. Mais la tentation est venue et le pape de Rome a été séduit et s’est détaché de la seule Eglise et la seule foi.

 

Saint Justin Popović (XX siècle)

Dans l’histoire de l’humanité, il y a trois principaux cas de chute : Adam, Juda et le pape… La papauté est pire que l’arianisme… Le dogme de l’infaillibilité du pape est non seulement une hérésie, mais l’hérésie des hérésies. Parce qu’aucune hérésie ne s’est révoltée contre Dieu-homme le Christ et Son Eglise avec une telle manière que c’était fait par le pape et l’infaillibilité du pape-homme. ce dogme est l’hérésie des hérésie et la révolte extraordinaire contre Jésus Christ.

 

Gennade II Scholarios (XV siècle)

Si nous nous unions avec les Latins, nous serons rejetés de Dieu et nous serons dans la honte éternelle.

 

Saint Ignatius Bryanchaninov (XIX siècle)

… la papauté, c’est une hérésie qui a envahie l’Occident, depuis laquelle, comme des branches d’arbres, ont apparu les courants protestants différents. La papauté attribue au pape les propriétés du Christ, par quoi elle rejette le Christ. Certains écrivains occidentaux ont presque explicitement prononcé ce renoncement en disant que le péché du reniement du Christ est beaucoup moins que le péché du reniement du pape. Le pape est une idole des papistes. Il est leur divinité. A cause de cette erreur grave la grâce de Dieu a quitté des papistes. Ils sont abandonnés pour eux-mêmes et pour Satan qui est l’inventeur et le père de toutes les hérésies dont la papauté. Dans cet état de l’obscurité, ils ont altéré certains dogmes et sacrements, et privé la Divine liturgie de sa valeur essentielle, en ayant retiré la prière au Saint Esprit (épiclèse) et la bénédiction du pain et du vin par laquelle ils deviennent le Corps et le Sang du Christ. Cette partie essentielle de la Liturgie qui se trouve dans toutes les Liturgies établies par les Apôtres du Christ dans l’univers entier était présente dans la Liturgie romaine. Aucune hérésie n’exprime pas si ouvertement et si cruellement l’orgueil extrême, le mépris total des hommes et la haine envers eux.

Ne jouez pas avec votre salut, ne jouez pas! Sinon, vous pleurerez pour toujours. Commencez à lire le Nouveau Testament et les Saints Pères de l’Eglise orthodoxe (pas du tout Thérèse et François d’Assise et d’autres fous d’occident que l’église hérétique expose comme des saints). Etudiez les saints Pères de l’Eglise orthodoxe, comment il faut comprendre la Sainte Ecriture, quelle vie et quelles pensées et quels sentiments sont convenables au chrétien.

 

Saint Ambroise d’Optina (XIX siècle)

Eglise orthodoxe orientale depuis les temps apostoliques conserve jusqu’à nos jours, en état inaltéré et inchangé et sans les nouveautés, l’enseignement évangélique et apostolique et la tradition des saints pères, les décrets des Conciles oeucuméniques sur lesquels les hommes porteurs de Dieu qui se sont rassemblés de tout l’univers ont composé ensemble le Symbole divin de la foi orthodoxe, et l’ayant proclamé à haute voix sur tout l’univers dans l’état parfait et complet, ils ont interdit sous la peine terrible des ajouts et des retranchements dans le Symbole même un iota. L’Eglise romaine s’est depuis longtemps écartée dans l’hérésie et des nouveautés. Même Saint Basile y a démasqué quelques évêques de Rome dans sa lettre à Eusèbe de Samosate : « Ils ne connaissent pas la vérité et ne veulent pas la connaître ; Ils se disputent avec ceux qui leur dit la vérité en affirmant l’hérésie par eux-mêmes »

… Même au septième siècle, la fausse sagesse naquit dans les églises occidentales, que le Saint-Esprit procède du Fils. Au début, contre cette nouvelle pensée, certains papes se rebellèrent, en l’appelant hérétique. Le pape Damase s’exprime à ce sujet dans le décret du Concile : « Celui qui raisonne véritablement du Père et du Fils, mais ne raisonne pas véritablement du Saint-Esprit est un hérétique ». La même chose a été confirmée par d’autres papes : Léon III et Jean VIII. Mais la plupart de leurs successeurs, séduits par les droits du pouvoir et en y ayant trouvé beaucoup de profits terrestres, ont osé à changer le dogme orthodoxe de la procession de Saint-Esprit,  en dépit des décisions des sept Conciles oecuméniques, en dépit des paroles claires et nettes du Seigneur dans l’Evangile. « qui procède du Père »(Jean 15: 26).

Mais comme une erreur qui n’est pas considérée comme une erreur, implique toujours une autre et un mal en engendre un autre, ceci s’est produit avec l’Eglise romaine. A peine cette nouveauté fausse que le Saint-Esprit procède du Père a pu apparaître à l’Occident que elle-même a engendré d’autres  nouveautés fausses qui contredisent l’Evangile et les commandements de notre Seigneur, comme : le versement de l’eau au lieu de l’immersion pendant le sacrement du Baptême, l’annulation d’utilisation de Calice divin pour les laïcs, l’utilisation du pain sans levain au lieu du pain au levain, l’exclusion de la prière au Saint-Esprit vivifiant pendant la sainte Liturgie? D’autres part, l’Eglise de Rome a introduit d’autres rites qui contredisent la Tradition apostolique, comme non permission aux enfants baptisés de participer au Sacrement de la Chrismation et de la Communion, l’annulation du mariage pour le clergé, la reconnaissance du pape comme une personne infaillible et le vicaire du Christ. Ainsi, ils ont aboli la tradition apostolique dans tous les Sacrements et les droits canoniques.

Mais l’hérésie la plus importante de l’Eglise de Rome, non pas par son essence mais par son action et un dogme inventé de la primauté ou plutôt une recherche orgueilleuse de la domination des évêques de Rome sur quatre Patriarches de l’Orient.

Pour cette prédominance, les partisans de l’Eglise de Rome ont placé leur pape supérieur aux droits et décrets des Conciles oecuméniques en croyant en son infaillibilité. Mais la nature de cette infaillibilité est démasquée par les faits historiques. Il y a beaucoup d’autres exemples des péchés des papes, mais nous n’en parlerons pas maintenant…

Pour toutes ses raisons, l’Eglise unique et catholique a cessé la communion avec l’Eglise de Rome comme celle qui s’est écartée de la vérité et des décrets de l’Eglise…

La vérité témoigne que l’Eglise de Rome s’est détachée de l’Eglise orthodoxe…

L’Eglise de Rome n’appartient plus à la seule Eglise catholique et apostolique.


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