Les fidèles scellent la doxologie prononcée par le prêtre, en chantant Amen.
Par cette réponse, les fidèles acceptent cette vérité qui est exprimée dans l’ecphonèse du célébrant, et souhaitent goûter les biens du Royaume Trinitaire.
Les fidèles « ajoutent Amen, et par cette seule acclamation font tout ce que leur dit le prêtre ». Cette conclusion de chacune des ecphonèses du prêtre manifeste que ce qui « manque à la perfection des prêtres est complété par l’action du peuple, et Dieu accepte les petits avec les grands (Ps 113, 21), dans l’unité de l’esprit. Car l’assemblée ecclésiale elle aussi croit que ses propres prières sont reçues [par Dieu] lorsqu’il les joint à celles des prêtres ».
Par l’acquiescement des fidèles, la bénédiction du prêtre monte vers l’Autel supracéleste. Les fidèles participent activement à la divine liturgie qui, à chaque instant, confirme son appellation : elle est en effet l’œuvre du peuple.